Skip to Content Skip to Mainnavigation Skip to Meta Navigation Skip to Footer
Skip to Content Skip to Mainnavigation Skip to Meta Navigation Skip to Footer

L'encadrant décède de façon inattendue

En tant que parent, on prend conscience qu'on ne vivra pas éternellement, au plus tard au moment de la naissance de son enfant. Souvent, des accidents ou des maladies aux conséquences graves surviennent de nulle part dans une famille et engendrent des incertitudes. Comment en tant qu'encadrant principal de mon enfant, savoir que mon enfant sera entre de bonnes mains s'il m'arrive quelque chose ?

Une pierre tombale avec des fleurs dessus. | © pixabay Les parents doivent s'informer très tôt sur les soins postopératoires. (pixabay)
  • 1

    Parlez de vos préoccupations avec vos proches

    Un tissu social stable et actif avec son conjoint ou sa conjointe, des amis, des parents et des voisins est toujours bénéfique au développement de la famille : il crée une relation saine et naturelle avec votre enfant. En tant que famille, vous disposez de davantage de ressources de soutien et il devient plus facile pour vous, en tant que parent, d’obtenir un soulagement immédiat. 

    En tant que personne d’encadrement, n'hésitez donc pas à vous impliquer dans votre environnement social – ne faites pas d’exception sur le sujet de la « personne d’encadrement qui meurt » ! Discutez des solutions possibles avec vos proches, décidez éventuellement comment, qui, quoi faire en cas d'accident ou d'autre événement inattendu. Vous pouvez même fixer certains accords par écrit.

  • 2

    Parlez de vos préoccupations avec votre enfant

    Quand on est enfant, on pense jusqu’à un certain âge que maman et papa savent toujours tout, qu’ils sont invincibles et que tout restera comme ça pour toujours. Mais cela évolue au fil du temps. Il se peut aussi que votre enfant reste persuadé que ses parents seront toujours là pour lui. Il est donc d’autant plus important que vous discutiez avec votre enfant des scénarios possibles (en fonction de son âge bien sûr). Ne laissez pas la question du suivi ou « Et si »... devenir un tabou, mais discutez-en avec votre enfant. Créez un espace pour écouter l’enfant, ses craintes et ses envies. Et donnez-vous de l’espace pour expliquer à l’enfant des choses importantes comme : « Si la voisine Barbara vient te chercher à l'école, il faudra que tu la suives, parce qu'il se peut que papa n’aille pas bien en ce moment. » Ainsi, vous faites comprendre à votre enfant et à vous-même que ces questions sont normales, qu’elles font partie de la vie et qu’elles doivent être discutées. 

  • 3

    Accords (testament et autres conventions)

    Assurez-vous que les principaux points et accords soient consignés par écrit dans un document valable et que vous en avez parlé au préalable avec toutes les parties concernées. Un accord, une procuration ou un testament vous permettent ainsi de vous assurer qu’aucune décision qui ne serait pas conforme à votre volonté et à celle de votre enfant ne sera prise en votre absence (temporaire).


Cet article vaut-il la peine d'être lu?

Trouvé une erreur ? Signaler maintenant.

Quelles sont vos expériences?